Immo Europe: un père et un fils à la barre

Un père et un fils à la barre d’une PME. Ce n’est pas évident. Et pourtant! Chez Immo Europe cette parenté semble justement la clef du succès.

«Nous sommes sidekicks», commence Trevor. « Nous nous complémentons tellement bien que généralement un mot suffit. Si jamais la situation semble prendre une autre tournure, Anthony neutralise le sujet avec son humour typique. Cela marche ainsi depuis des années. En fait, ainsi nous repartons pour encore un demi-siècle !». (rit). Arc-boutez-vous pour une double interview sur le passé, le présent et l’avenir.

Trevor Sparks a fait son entrée chez Immo Europe en 1978. « Notre agence immobilière avait été fondée 13 ans plus tôt par mon beau-père, feu André Lenaers », raconte Trevor. « C’était un homme droit. Sévère mais juste. Il avait remarqué que j’étais ponctuel et au courant des chiffres. De ce fait il m’a mis à la comptabilité. J’y ai parfaitement trouvé mon chemin. Cinq ans plus tard je suis devenu responsable des locations. J’en étais très heureux, car j’adore le contact direct avec les clients. Maintenant encore, d’ailleurs ».

Totalement différent

Le secteur de l’immobilier était totalement différent dans les années 70. « Il n’était encore nullement question du tourisme d’hiver », poursuit Trevor. « Tout débutait avec les vacances de Pâques et se terminait fin septembre. Pendant l’hiver nous avions la possibilité de prendre de longues pauses-café au bureau. Les locations étaient à l’époque pour au moins deux semaines, généralement même pour un mois. Un appartement équipé d’une télé couleurs était vraiment le grand luxe. Chaque location se voyait prédédé par au moins 5 visites. Le secteur de la vente a également pris une toute autre tournure. Une convention de vente, populairement dit compromis, n’était qu’une feuille A4. A ce jour, dix fois autant. La gestion du tourisme était également toute autre. A cette époque la fanfare qui sortait le dimanche était encore tout un événement. Un énorme contraste avec aujourd’hui».

Une longueur d’avance

Au fil des années Immo Europe a toujours tenu compte des nouveaux désirs et besoins de ses clients. «Les temps changent», dit Anthony (26). «Comme entreprise moderne il est de notre devoir de tenir compte des nouveaux désirs et tendances. Séjours moins longs, réservations rapides on-line, classification claire des biens en location, et ainsi de suite. Grâce par exemple à notre site web nous avons une longueur d’avance. Rapide, claire, correcte et d’une utilisation aisée. C’est notre devise.» «Une chose n’a jamais changé pendant notre demi-siècle d’histoire» ajoute Trevor.

Investissement avantageux

«Une seconde résidence à la côte reste toujours un investissement particulièrement avantageux. Et cela le restera. Les gens viendront tou-jours à la mer et les biens immobiliers gagneront toujours en valeur. Outre la plus-value il y a encore d’autres atouts. Ainsi en tant que propriétaire vous avez la possibilité de passer vos vacances avec votre famille quand bon vous semble. Et quand vous n’y êtes pas, vous pouvez encore gagner un bel argent avec des locations saisonnières. Suffisamment pour récupérer sans problèmes vos frais. Bref : si vous me le demandez, une seconde résidence est bien plus avantageuse qu’un bon d’Etat ».

La devise de grand-père

Anthony : «Immo Europe loue annuellement des centaines de maisons de vacances et d’appartements et gère plus de 150 résidences. Nous vendons tout aussi bien des petites habitations existantes que des grands projets de nouvelles constructions. Cela se réalise dans l’esprit du fondateur, mon grand-père André Lenaers. Sa devise était : «Soit ponctuel et correct et la confiance du client sera ta récompense». Un demi-siècle plus tard s’est encore toujours une pure vérité».

L’avenir

L’avenir d’Immo Europe est déterminé. «Sous les ailes de mon père j’ai pu les 5 dernières années acquérir beaucoup d’expérience et de knowhow», estime Anthony. «Mon amie Stephanie et moi recevons toutes les chances pour nous épanouir en tant que futurs administrateurs. Bien sûr nous nous sentons secondés par notre équipé enthousiaste de collaborateurs. En bref: c’est un véritable plaisir que d’arriver le matin au 212 de la Zeelaan. Et comme papa le disait: nous sommes des sidekicks. Travailler journellement ensemble a fortement resserré nos liens. De ce fait je ne lui donne pas mon autorisation pour prendre sa retraite. Je suis content que notre gouvernement ait augmenté l’âge de la pension!»

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